La FERTÉ-SAINT-AUBIN (45), le 31 mai 2016. Les orages sévissent sur le centre Val De Loire. A 15 heures, les eaux envahissent la boulangerie de Sophie et Christophe ESCOBAR jusqu'à un mètre de haut. Aujourd'hui, le couple est parti pour une nouvelle aventure...Les crues menacent le village, il faut récupérer la caisse à la boulangerie. Accompagné des pompiers et d’une salariée pour l’aider, Christophe Escobar en profite pour sauver quelques produits. Il est temps, trente minutes plus tard, l’accès au magasin est coupé et le restera durant trois jours…
« Premier réflexe : appeler la MAPA »
Une fois l’eau évacuée du commerce, le constat est terrible : la majorité du contenu de la boutique est sous la boue… Il va falloir pourtant s’atteler à constater précisément les dégâts. « Le premier réflexe est bien sûr d’appeler l’agence MAPA d’Orléans afin de déclarer le sinistre", raconte Christophe Escobar. L’inspecteur régleur de la MAPA est venu dès le premier jour constater les dégâts ainsi que la perte des marchandises. Pour anticiper le retour à l’activité, il a contacté un distributeur de matériels afin d’estimer les besoins et prévoir leur remplacement à la réouverture. Il a également missionné une entreprise de nettoyage qui est passée quelques jours plus tard. Christophe Escobar est inquiet, il sait qu’il va perdre gros. De plus, les inondations ont bien failli faire échouer la vente du commerce qui devait se signer quinze jours après le sinistre. L’inspecteur régleur guide l’assuré tout au long du sinistre. Un premier versement permettant de combler la perte d’exploitation est effectué rapidement.
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« Je connais d’autres collègues, où cela ne s’est pas passé ainsi… »
Finalement, le commerce rouvre ses portes le 4 septembre, trois mois après le sinistre. Les nouveaux acquéreurs commencent leur activité dans une boulangerie refaite à neuf ! Avec le recul, Christophe Escobar commente : « Je connais d’autres collègues assurés ailleurs où cela ne s’est pas passé ainsi. À la MAPA, l’inspecteur régleur est à nos côtés, il explique clairement ; les conseillers sont proches de nous : ils ne nous laissent pas tomber. » Il ajoute : « Avant de m’installer, je faisais de la formation pour un groupement de meuniers. Je rencontrais des boulangers dans toute la France. Tous ceux qui avaient été sinistrés et où cela s’était bien passé étaient assurés à la MAPA. »
Témoignage de Thierry Villard, président de la Chambre patronale de la boulangerie du Loiret :
"La MAPA m’a appelé afin de nous informer de l’avancement des dossiers. Elle a été très réactive. À la Chambre des métiers, la MAPA a été reconnue comme l’assureur le plus proche de ses sociétaires. C’est la proximité de « terrain ». Quand on les appelle, on sait qu’ils seront à la hauteur de ce que l’on attend. L’image de la MAPA a été encore renforcée après la catastrophe".