Paris, marché d’Aligre, nuit du 6 au 7 juillet 2015. Un incendie dévaste la Halle Beauvau où sont réunis dix-neuf commerçants de bouche, réputés pour la qualité de leurs produits.
Deux d’entre eux, assurés à la MAPA, voient leurs commerces détruits. Grâce au dispositif d’urgence mis en œuvre par la MAPA, incluant le prêt d’un container magasin, les deux commerçants reprennent leur activité commerciale à la réouverture de la Halle…
La MAPA, au secours de ses sociétaires
Première personne contactée à la suite d’un incendie : l’assureur. Pour la MAPA, il est indispensable, dans ce type de situation, de réagir dans les meilleurs délais avec des solutions adaptées aux besoins des professionnels sinistrés. L’assureur dépêche un expert dans les 24 heures. À la suite de l’état des lieux, la MAPA verse des provisions aux commerçants ; ces fonds couvrent la perte d’exploitation. Michel Brunon, considéré comme l’un des meilleurs bouchers de la capitale, commente : « Après un tel sinistre, le besoin financier est important. Or, certains de nos collègues, non assurés à la MAPA n’ont encore rien perçu… »
Pour Cyrille Hardouin, fromager, et Michel Brunon, dont les commerces étaient totalement détruits, une solution a été recherchée par la MAPA afin qu’ils reprennent leur activité commerciale en même temps que la réouverture de la Halle, fin septembre. « La mise à disposition de containers magasins avec vitrine en hydraulique, explique Cyrille Hardouin, nous permet de récupérer quasiment le même nombre de mètres linéaire qu’avant le sinistre… et le même niveau de chiffre d’affaires. »
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Les métiers de la MAPA mobilisés pour leurs assurés
Présence régulière de l’inspecteur régleur, des conseillers commerciaux MAPA, réponse immédiate aux interrogations des sinistrés, gestion efficace du sinistre… la MAPA sait que la proximité relationnelle facilite le quotidien des sinistrés. Jean-Pierre Perrotin, inspecteur régleur de la MAPA, explique : « Notre métier est un métier de contact. Il faut être proactif dans une telle situation. » Michel Brunon se félicite d’avoir choisi la MAPA : « Ils sont super-réactifs, et on les remercie, car on va pouvoir rouvrir en même temps que les autres. » Et Cyrille Hardouin de conclure : « Même si je trouvais moins cher ailleurs, je ne prendrais pas le risque d’y aller… À la MAPA, leur priorité, c’est la même que la nôtre : reprendre le travail. »