Sous la halle Beauvau, dans le XIIe arrondissement de Paris, le feu frappe une deuxième fois le marché couvert !
Le 2 février 2017, en pleine nuit, un incendie d’origine accidentelle ravage deux stands du célèbre marché couvert de la place d’Aligre, et en a endommagé quelques autres.
Parmi tous les commerçants du marché d’Aligre, 14 sont assurés à la MAPA et ont subi les conséquences de l’incendie. Mais grâce au dispositif d’urgence mis en œuvre par la MAPA, et à la réactivité des équipes, l’activité a pu reprendre très rapidement.
Un seul objectif commun : agir vite pour la reprise d'activité
« J’ai tout perdu, tout a brûlé, et il était impossible de récupérer quoi que ce soit » explique Isabelle Pommier, fromagère (Le Comptoir des Fromages et de la Bière) depuis près de 20 ans et installée au marché d’Aligre. Son constat est celui de la désolation : « La chambre froide a complètement fondue et est irrécupérable. J’ai été réveillée à cinq heures du matin par un collègue qui m’a dit que le marché avait brûlé. C’était un choc évidemment ». Sociétaire de la MAPA depuis le début de son activité en 1998, Isabelle Pommier confie son sentiment au sujet de l’intervention réalisée par les équipes d’assurance. « La MAPA a été très présente dès le départ, dès le premier jour. On m’a rassuré en me disant de pas m’inquiéter, que tout allait être pris en charge. On m’a dit « on ne vous laissera pas tomber » et c’est vrai, c’est le cas depuis le début ».
La MAPA était sur place dès le matin suivant l'incendie. Pour lui permettre de reprendre son activité en même temps que les autres commerçants, la MAPA a mis à sa disposition un camion-magasin dans l'attente de la reconstruction de son stand.
Pour le Président de l’association des commerçants du marché couvert, Cyril Hardouin, qui avait été touché par le premier incendie en 2015, l’intervention de la MAPA est jugée comme efficace. « La MAPA a été réactive pour permettre aux commerçants qui ne pouvaient pas rouvrir de trouver une solution rapidement. Dans ce genre de moments, on se demande si on va se relever. Heureusement, nous sommes bien assurés et la MAPA est avec nous : elle nous permet notamment de disposer de provisions de perte d’exploitation, ce qui n’est pas le cas chez d’autres assureurs ».
La réactivité de la MAPA : une organisation atypique avec une véritable présence terrain
Jean-Pierre Perrotin, inspecteur indemnisateur de la MAPA, a été mandaté dès la connaissance de l’incendie. Rapidement, il a pu échanger avec les différentes parties prenantes, et intervenir pour trouver des solutions. « J’ai pris le dossier en main dès le 2 février au matin, j’ai envoyé un collègue et je suis venu personnellement dès l’après-midi. Dès le samedi, les constats des huissiers pour l’ensemble des stands étaient réalisés, et les marchandises inutilisables déjà enlevées grâce aux services d’un intervenant extérieur ». Relancer l’activité de son sociétaire est le but premier de la MAPA. Car chaque jour qui passe pour un commerçant est synonyme de perte, pas seulement financière. Déjà touché par un incendie en 2015, le marché d’Aligre ne pouvait pas se permettre d’être fermé trop longtemps, au risque de décevoir les clients.
« C’est un sinistre assez lourd » explique Jean-Pierre Perrotin. « Il faut leur répondre et les accompagner au quotidien, les aider pour bien choisir leurs prestations, les conseiller sur les devis. Ils sont inquiets. Notre métier est un métier de contact. Il faut être proactif dans une telle situation ».
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L’accompagnement dans les moments difficiles, pour reprendre l’activité, est une valeur forte pour laquelle la MAPA s'investit. C’est ce que confie Benjamin Floch, conseiller commercial MAPA. « La MAPA est une mutuelle d’assurance qui est spécialisée dans le domaine de l’alimentaire et qui travaille exclusivement avec des bouchers, des boulangers et des fromagers. Pour les commerçants sinistrés, dans le cadre de l’incendie, plusieurs garanties sont entrées en jeu. Dès le début, c’est la garantie perte d’exploitation qui a été déployée, au premier jour, et qui prend charge les loyers et le manque à gagner. Ensuite, beaucoup de commerçants ont perdu de la marchandise. Nous avons donc indemnisé l’intégralité de la marchandise perdue ».