Le 3 octobre dernier, la commune de Biot (06) vivait, après 1 h 30 d’orage, une inondation d’une rare violence. La boulangerie-pâtisserie Brion voit son magasin et son laboratoire envahis par les eaux et les boues. Quatre mois plus tard, grâce au soutien de la MAPA, elle sera la première des sept boulangeries gravement sinistrées à rouvrir ses portes.
Ce 4 octobre, le terrible orage qui a sévi la nuit passée dans la petite commune de Biot, fait la une des journaux télévisés. Face à la gravité des événements, le président de la République se déplace. Un homme l’interpelle, c’est Philippe Brion, gérant de la boulangerie-pâtisserie du même nom. Désespéré, il a tout perdu en une nuit. L’orage a fait céder les vitrines de son commerce, le magasin et le laboratoire ont été envahis jusqu’à une hauteur de 1,60 mètre. Outre la remise en état du commerce et le rachat du matériel, les pertes d’exploitation générées peuvent impliquer une fermeture définitive de l’affaire.
La réactivité, clé de reprise d’activité
« J’ai appelé la MAPA dès l’ouverture, le lundi matin à 8 heures, explique le boulanger. 75 minutes plus tard, l’expert était présent sur les lieux. Dès le vendredi, le commerce était nettoyé, vidé de ses matériels, prêt pour les gros travaux dès le vendredi. » Les travaux démarrent grâce aux versements de la MAPA. À la fin du mois de janvier, le pétrin, la diviseuse, le surgélateur, la chambre de fermentation… sont installés, le bâtiment est prêt pour les finitions.
« Il suffit de choisir la bonne assurance, avec les bonnes options »
La rapidité avec laquelle les travaux démarrent surprend les sept autres boulangeries gravement sinistrées. Pour faire partager son expérience, la Confédération de la boulangerie-pâtisserie sollicite Philippe Brion afin de partager son expérience à l’occasion d’une réunion de la confédération. Celui-ci explique : « Il suffit de choisir la bonne assurance, avec les bonnes options. Par exemple, grâce à la perte d’exploitation, la MAPA me suit même après l’ouverture du magasin, jusqu’à ce que je retrouve mon chiffre d’affaires, et ceci, pendant 24 mois. » Et d’ajouter : « Il m’a été plus difficile de me faire rembourser mon scooter qui n’était pas assuré à la MAPA que ma boulangerie entière ! »
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La proximité, essentielle à une relation de qualité
Celui dont les parents, boulangers, étaient déjà assurés à la MAPA, commente : « La MAPA est vraiment l’assureur spécialisé de notre profession. Chaque année, la commerciale passe pour réévaluer mon contrat. Par exemple, j’ai refait mon magasin, acheté du matériel… Grâce à cette réévaluation, j’ai pu être indemnisé à hauteur de mes investissements. » Touché par la solidarité en provenance de tout l’Hexagone, le boulanger-pâtissier exprime également sa surprise quant à l’engagement de la mutuelle d’assurance à ses côtés : « Le directeur général de la MAPA, M. Loizeil, m’a appelé à la maison. M. Blais, l’inspecteur régleur, est venu à plusieurs reprises de Saint-Jean-d’Angély. À la MAPA, on sent qu’on n’est pas un numéro, qu’on est une personne. »